mercredi 13 juillet 2011

Merveille que nous sommes!

Nous sommes chacun et chacune des êtres au halo de lumière,
parfaits, merveilleusement beaux,
A l'intérieur de nous, des plaies et des blessures que nous avons tendance à retenir prisonniers
car même s'ils nous font mal et que nous les aimons-détestons, ils nous sécurisent.
C'est du connu, l'inconfort est confortable, au fond.
Ces plaies nous font parfois agir à torts et à travers, nous nous meurtrissons les uns les autres,
souvent en toute inconscience.
Et puis, un jour, le temps d'un instant, un éclair soudain, une percée.
Le voile se dévoile.
Plus rien n'est comme avant!
Vision de l'envers du décor ou est ce l'inverse?
Ce que nous avions pris pour le réel n'est qu'un décor... Vision de la matrice.
Il y a moyen de faire autrement que de se blesser...
L'écoute de son propre fonctionnement, ressentir.
Se pardonner du « à torts et à travers ».
S'aimer dans cette histoire là, dans cette famille là, cette vie là.
Vision-cartographie du plan conscient. Le coeur lui, ouvre la porte.
Les deux réunis-la compassion.
Nous créons le flux.
Ainsi, nous ne demandons plus à l'autre de nous aimer, nous sommes connectés à la source d'amour.
Nous devenons source...

mercredi 6 juillet 2011

Réveil


J'ai l'impression de me réveiller d'un long sommeil morbide!
Fin de la Belle au Bois dormant...!
Le Prince charmant? La vie elle-même !

Paradoxalement nôtre

Prendre le cynisme en soi,
les jugements,
les calculs donnant-donnant,
les mesquineries,
les regards qui convoitent,

Voir qu'ils sont là en réaction d'un coeur blessé, du doute de soi, du manque d'amour. Ils disent NON!
Les reconnaître et les aimer. Dire OUI! même si ils semblent repoussants. Refuser, c'est à nouveau NON!

TOUT prendre: je suis ceci et pas ceci. Je ne suis ni ceci, ni pas ceci.
Le tout. Quel vertige! Et à nouveau, OUI! Et encore, et encore...
Vient l'infinie solitude...

Seule?
Je suis seule et pas seule. Ni seule, ni pas seule.
Je?
Personnellement et pas personnellement. Ni personnellement, ni pas personnellement.
Le corps?
Ni le corps, ni pas le corps. Le corps et pas le corps.

Le mystère.